Abracadabra. (qu'il soit fait ainsi qu'il a été dit: oui, dans ce blog on apprend aussi l'araméen. C'est beau hein? :))

Que s'est-il passé la semaine dernière pour que je ne blog pas?

Une semaine de partiels :)

Lundi et mardi, révisions. Enfin... pour être plus précis j'apprennais mes cours ;) Toute mon attention était concentrée sur les maths, comme d'habitude. Je suis aux maths ce qu'est le diable à dieu: sa némésis. Le pire c'est que je comprends ce qu'on me demande, mais je ne suis tout simplement pas capable de l'appliquer sans avoir le nez dans mes cours avec mes formules à coté de moi (et encore, je ne trouve pas forcément les résultats de ma prof...) Bon, déjà là c'est le début du stress...

Mardi, je me réveille avec un tête de mort-vivant, douleur maxillaire unilatérale droite... Oui en gros mes dents de sagesse me font horriblement mal. Normalement le rendez-vous chez le stomato est pour... fin avril. Ca n'arrête plus. Gramme par gramme de paracétamol, à peine deux heures de tranquilité. Coup de fil sur paname: coup de bol, j'ai un rendez-vous 7j plus tard, voilà un stress en moins: ma machoire n'explosera pas.

Mercredi première journée d'épreuves. Ca se passe... Les maths euh, j'ai rien compris ^^ Par contre j'ai corrigé 11 fautes de typo dans l'énoncé (faut voir si elle va bien le prendre... wait and see). Jeudi deuxième journée d'épreuves. Je pense avoir accompli une prouesse en passant un examen d'une matière que je ne connaissais ni d'eve ni d'adam: ASP.NET Ne cherchez pas, je ne comprends pas moi-même à quoi ça sert.

Jeudi, vendredi, chez ma fée et intense nettoyage chez moi (2h30 de récurage de chiottes, ça vous donne une idée de l'état de la pièce?)

Samedi: décompression. J'en avais *grave* besoin.

Dimanche: déménagement de la mère d'Elle. Preuve qu'on peut rester ami avec ses ex-beau-parents (je vous jure que leur nouvelle maison... wahou... S'ils partent je la reprends!) Evidement, en tête à tête avec sa maman, on en peut s'empêcher de parler de l'absente, de recouper nos maigres informations. Tout concorde, malheureusement: c'est un suicide social qu'elle s'apprète à faire (peut-être un futur billet...).

À peine rentré, préparation d'un dossier de management pour l'école. C'est bien: mon binôme est joignable C'est mal: il ne comprends pas du tout ce qu'on nous demande. C'est pire: il a deux vodka dans le sang et vient de fumer son quatrième pétard...

Lundi matin: dernier examen, QCM sur machine de J2EE. J'explose les scores en montant sur le podium. Quelle place? Je ne le saurais que dans deux semaines. Lundi soir: pression sur mon binôme pour tenter de lui faire fournir sa part de travail. 22h: "attends, je me fais à manger" 23h: "attends, je discute avec mon coloc" 1h du mat: euh... il répond plus là. Je décide de lui envoyer mon travail, je prends le risque de lui faire confiance sans relire son travail. Je lui indique par mail ce qu'il reste à faire sur ses parties et où ajouter son travail. Puisqu'à cette heure là je ne peux pas me permettre de réveiller mes colocs je lui laisse le soin d'imprimer, et donc de livrer le dossier. J'envoie quand même un mail en lui demandant de

J'arrive en cours le mardi après-midi, après mon rendez-vous chez le stomato. Tiens, pas de binôme. Je questionne mes collègues: personne ne l'a vu. Je fais mes cours, je rentre chez moi. 17h50: "je te l'enverrai quand je l'aurais fait!" dire que son travail nécessite deux heures de travail, grand maximum...

Qu'il se démerde, ce n'est plus mon problème.

Au secours, je m'en sors plus :(

Le lendemain matin, je trouve un mail sur ma boîte avec un timestamp à 2h50: "je viens de finir avec mon coloc. Je me charge de tout ça