apt-get --purge screams

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

mardi 28 février 2006

Time to blog

Abracadabra. (qu'il soit fait ainsi qu'il a été dit: oui, dans ce blog on apprend aussi l'araméen. C'est beau hein? :))

Que s'est-il passé la semaine dernière pour que je ne blog pas?

Une semaine de partiels :)

Lundi et mardi, révisions. Enfin... pour être plus précis j'apprennais mes cours ;) Toute mon attention était concentrée sur les maths, comme d'habitude. Je suis aux maths ce qu'est le diable à dieu: sa némésis. Le pire c'est que je comprends ce qu'on me demande, mais je ne suis tout simplement pas capable de l'appliquer sans avoir le nez dans mes cours avec mes formules à coté de moi (et encore, je ne trouve pas forcément les résultats de ma prof...) Bon, déjà là c'est le début du stress...

Mardi, je me réveille avec un tête de mort-vivant, douleur maxillaire unilatérale droite... Oui en gros mes dents de sagesse me font horriblement mal. Normalement le rendez-vous chez le stomato est pour... fin avril. Ca n'arrête plus. Gramme par gramme de paracétamol, à peine deux heures de tranquilité. Coup de fil sur paname: coup de bol, j'ai un rendez-vous 7j plus tard, voilà un stress en moins: ma machoire n'explosera pas.

Mercredi première journée d'épreuves. Ca se passe... Les maths euh, j'ai rien compris ^^ Par contre j'ai corrigé 11 fautes de typo dans l'énoncé (faut voir si elle va bien le prendre... wait and see). Jeudi deuxième journée d'épreuves. Je pense avoir accompli une prouesse en passant un examen d'une matière que je ne connaissais ni d'eve ni d'adam: ASP.NET Ne cherchez pas, je ne comprends pas moi-même à quoi ça sert.

Jeudi, vendredi, chez ma fée et intense nettoyage chez moi (2h30 de récurage de chiottes, ça vous donne une idée de l'état de la pièce?)

Samedi: décompression. J'en avais *grave* besoin.

Dimanche: déménagement de la mère d'Elle. Preuve qu'on peut rester ami avec ses ex-beau-parents (je vous jure que leur nouvelle maison... wahou... S'ils partent je la reprends!) Evidement, en tête à tête avec sa maman, on en peut s'empêcher de parler de l'absente, de recouper nos maigres informations. Tout concorde, malheureusement: c'est un suicide social qu'elle s'apprète à faire (peut-être un futur billet...).

À peine rentré, préparation d'un dossier de management pour l'école. C'est bien: mon binôme est joignable C'est mal: il ne comprends pas du tout ce qu'on nous demande. C'est pire: il a deux vodka dans le sang et vient de fumer son quatrième pétard...

Lundi matin: dernier examen, QCM sur machine de J2EE. J'explose les scores en montant sur le podium. Quelle place? Je ne le saurais que dans deux semaines. Lundi soir: pression sur mon binôme pour tenter de lui faire fournir sa part de travail. 22h: "attends, je me fais à manger" 23h: "attends, je discute avec mon coloc" 1h du mat: euh... il répond plus là. Je décide de lui envoyer mon travail, je prends le risque de lui faire confiance sans relire son travail. Je lui indique par mail ce qu'il reste à faire sur ses parties et où ajouter son travail. Puisqu'à cette heure là je ne peux pas me permettre de réveiller mes colocs je lui laisse le soin d'imprimer, et donc de livrer le dossier. J'envoie quand même un mail en lui demandant de

J'arrive en cours le mardi après-midi, après mon rendez-vous chez le stomato. Tiens, pas de binôme. Je questionne mes collègues: personne ne l'a vu. Je fais mes cours, je rentre chez moi. 17h50: "je te l'enverrai quand je l'aurais fait!" dire que son travail nécessite deux heures de travail, grand maximum...

Qu'il se démerde, ce n'est plus mon problème.

Au secours, je m'en sors plus :(

Le lendemain matin, je trouve un mail sur ma boîte avec un timestamp à 2h50: "je viens de finir avec mon coloc. Je me charge de tout ça

Call me "the Load Runner boy"...

Je cours, je cours...

Je cours tellement que je n'ai pas le temps de blogger, alors que j'ai de quoi faire là... vu que je dois courir là encore, il faut que je vous laisse. Séance de rattrapage ce soir, où je devrais pouvoir me reposer (enfin).

samedi 18 février 2006

Le clavier, c'est has-been, tu vois...

Minority report t'as impressionné?

Tu rêves de manipuler ton écran avec les doigts?

Oui mais tout cela c'est de la science-fiction...

Non

Le petits gars de Multi-Touch Interaction l'ont fait, et sans les gants s'ils vous plaît. Je vous encourage à aller leur rendre une visite et de télécharger leur petite vidéo de 3min qui est tout simplement impressionnante.

Cool, j'ai trouvé mon prochain clavier... :p

jeudi 16 février 2006

La pluie, le métro et bloom

Il y a des gens qui aiment le métro, d'autres non.

Pour ma part je serais un peu entre les deux, et très fidèles à mes origines: "p't'êt'e ben qu'oui, p't'êt'e ben qu'non".

En fait cela dépend de la densité de population et de l'indice d'humidité de l'air et de mon humeur (certainement l'élément le plus fluctuant, oui je sais).

Mais là ce soir...

Malade, fatigué, nauséeux, vexé de ne toujours pas trouver les DVD des monty python en Fnac ou Virgin, détrempé par la traversée du parvis de la Défense (évidement, j'ai oublié aujourd'hui pour la première fois depuis le début de l'hiber mon écharpe) je rentre dans un RER A bondé comme un bar à bière un soir de finale de coupe du monde et clou sur le spectacle: l'air est totalement irrespirable. La buée sur les vitres du bahut n'augure rien de bon, l'odeur me rappelle une étendue d'eau stagnante depuis des semaines, il fait chaud, horriblement moite et surtout, surtout... L'air vous pique la gorge, on a l'impression d'inspirer des microbes et virus en pelles entières à chaque bouffée d'oxygène, un véritable cauchemar.

Non, là décidement, ce soir, j'ai détesté le RER.

mercredi 15 février 2006

Dédicace à Maribe et Tracassin

(pour ceux qui ne comprennent pas, lire les commentaires du billet précédent)

Oui Tracassin, j'ai reçu ta carte de visite ^^

(je vous rassure, l'orthographe déplorable n'est pas de moi)

mardi 14 février 2006

Les angines c'est...

C'est bien: Cela me permet de blogger plus, de me reposer un peu (même si être malade n'est pas hyper reposant)
C'est mal: Cela m'empêche d'aller en cours, à une semaine des partiels, alors que je serais interrogé sur ce cours dont je ne sais absolument rien
C'est pire: Cela m'empêche de voir ma fée, parce qu'il ne faut pas que je lui refile mes microbes alors qu'elle est en stage >_<

Ma fée n'aime pas ma piscine...

... puisque j'ai eu le malheur de lui dire que les douches n'y étaient pas mixte.

"Mais c'est pas possible ça! Ca enlève tout l'intérêt des douches! Ils ont rien compris chez toi..."

Hum... Il va falloir que j'aille à sa piscine un de ses quatre, ne serait-ce que pour qu'elle m'explique ce qu'elle entendait par là, sous les douches... ;)

dimanche 12 février 2006

Synthèse d'une pensée

En faisant un bref récapitulatif de ce que me coûte le travail en terme de tensions nerveuses et de contrariété, j'en suis venu à une drôle de conclusion:

bliny me manque.

Mouep. Le petit déj' au bureau tous les matins, les restos une ou deux fois par semaine le midi, les discutions psycho-philosophiques où (bon sang) on n'était jamais (mais *jamais*) d'accord... Tout ça contribuait à désamorcer le stress du travail, et au contraire à le muet en envie d'aller au boulot, et motivation pour le faire correctement.

Aujourd'hui je suis dans une boîte où je me demande si mon collègue "tuteur" n'a pas peur que je prenne sa place auprès de notre chef. Nous sommes six stagiaires au total, et on distingue déjà nettement deux clans, presque trois. C'est quoi cette mentalité?

Un autre post à venir je pense.

Tu reviens quand bliny, j'ai envie d'un p'tit déj? :-/

mardi 7 février 2006

Ca faisait longtemps

Un instant, j'ai cru que cette catégorie de billets alait péricliter d'elle-même. Elle quittait peu à peu mon esprit.

Puis cela a commencé avec dimanche. Un rêve bizarre, où je lui téléphonais par erreur. Mon souvenir c'est ça voix enjouée, des phrases banales comme celles échangées avec des amis qu'on ne peut voir que le week-end. Mais ce qui m'a fait mal, c'est ce moment où je me suis dit "ces phrases sont vides, m'a-t-Elle seulement reconnu? Se souvient-Elle de moi?".

Hier matin, je devais consulter un ORL plus ou moins en urgence, où la décision devait être prise de me charcuter ou non les amygdales, et s'il fallait que je me fasse extraire les dents de sagesse avant ou après.

Hier soir, ma petite fée et moi avons eu des mots, indirectement par rapport à Elle. Bien sûr ça n'a pas duré longtemps, mais le fait est là.

Cette nuit, j'ai peu dormi, et surtout mal dormi (du coup je crois que mon prof va m'attendre longtemps ce matin). C'est ce genre de nuit où l'on est oppressé d'avoir fait mal à quelqu'un qu'on aime, c'est ce genre de nuit que j'ai déjà connu, quand je tenais compagnie à Elle et ses douleurs des nuits durant où j'avais l'impression de les ressentir.

J'apprends par le hasard (l'ironie?) des choses qu'Elle s'est fait extraire ses dents de sagesse aussi. Je me souviens encore de son peu de tolérance à la douleur. Elle n'a pas dû dormir beaucoup cette nuit.

Comme avant.

Comme moi.

lundi 6 février 2006

Pensée télévisuelle

The faculty, c'est le darwinisme, le suspence en moins.